Liquin, mon amour
02
oct.
2009
Pas de changements notables sur ma peinture depuis hier. Je vais donc en profiter pour faire le point sur un des mediums que j'utilise à l'huile.
Suivant les conseils de divers peintres glanés sur divers forums, j'ai rapidement expérimenter des recettes de cuisine dignes de Xavier de Langlais et de sa Technique de la peinture à l'huile. Un méalange d'huile de lin et de siccatif flamand m'a donné de bon résultat, mais ça restait encore un peu abstrait pour moi, compte tenu de mon faible niveau de peinture général.
Lors de mes retrouvailles avec l'huile, pendant que j'étais dans la série que j'évoquais dans l'article "Silence radio", je me suis interessé de prêt aux peintures alkydes, gamme moderne de peinture à l'huile séchant très rapidement. Il existe une gamme contenant déjà ce medium dans la couleur, ce qui d'un point de vue pratique est assez révolutionnaire. Mais, n'ayant pas les moyens de renouveller ma palette, je me suis tourné vers le Liquin, medium alkyde pur.
C'est une sorte de gel fluide qui se mélange très facilement à la peinture, l'assouplissant et augmentant sa transparence. Le Liquin existe en trois versions: le Liquin Original, le plus polyvalent je pense, le Liquin Details Fins, plus fluide encore et le Liquin Impasto, très épais et permettant, comme son nom l'indique, de travaille en épaisseur.
Pour ma part, je n'utilise que le Liquin Original qui donne donne toute satisfaction.
Lorsque je débute une toile à l'huile, je me contente de diluer ma peinture à la térébenthine pour les premier jus, puis rapidement, j'ajoute le Liquin. Selon le type de travail, j'utilise une noisette de medium pour une noix de peinture. Comme il est extrêmement siccatif, il m'arrive d'en utiliser beaucoup moins, notamment avec les couleurs peu couvrantes, pour ne pas les sur-diluer.
Selon les conseils du fabricant, il n'est plus utile d'ajouter de l'huile de lin en plus du Liquin, mais d'en augmenter la quantité lors de la "montée en couches" au fil du travail.
Grâce à ce produit, il est possible de se remettre au travail dès le lendemain.
Pour être plus clair, voici un petit tableau comparatif classique, avec les plus et les moins du produit. Je précise quil est basé sur ma propre expérience et il est possible que les avis divergent.
Suivant les conseils de divers peintres glanés sur divers forums, j'ai rapidement expérimenter des recettes de cuisine dignes de Xavier de Langlais et de sa Technique de la peinture à l'huile. Un méalange d'huile de lin et de siccatif flamand m'a donné de bon résultat, mais ça restait encore un peu abstrait pour moi, compte tenu de mon faible niveau de peinture général.
Lors de mes retrouvailles avec l'huile, pendant que j'étais dans la série que j'évoquais dans l'article "Silence radio", je me suis interessé de prêt aux peintures alkydes, gamme moderne de peinture à l'huile séchant très rapidement. Il existe une gamme contenant déjà ce medium dans la couleur, ce qui d'un point de vue pratique est assez révolutionnaire. Mais, n'ayant pas les moyens de renouveller ma palette, je me suis tourné vers le Liquin, medium alkyde pur.
C'est une sorte de gel fluide qui se mélange très facilement à la peinture, l'assouplissant et augmentant sa transparence. Le Liquin existe en trois versions: le Liquin Original, le plus polyvalent je pense, le Liquin Details Fins, plus fluide encore et le Liquin Impasto, très épais et permettant, comme son nom l'indique, de travaille en épaisseur.
Pour ma part, je n'utilise que le Liquin Original qui donne donne toute satisfaction.
Lorsque je débute une toile à l'huile, je me contente de diluer ma peinture à la térébenthine pour les premier jus, puis rapidement, j'ajoute le Liquin. Selon le type de travail, j'utilise une noisette de medium pour une noix de peinture. Comme il est extrêmement siccatif, il m'arrive d'en utiliser beaucoup moins, notamment avec les couleurs peu couvrantes, pour ne pas les sur-diluer.
Selon les conseils du fabricant, il n'est plus utile d'ajouter de l'huile de lin en plus du Liquin, mais d'en augmenter la quantité lors de la "montée en couches" au fil du travail.
Grâce à ce produit, il est possible de se remettre au travail dès le lendemain.
Pour être plus clair, voici un petit tableau comparatif classique, avec les plus et les moins du produit. Je précise quil est basé sur ma propre expérience et il est possible que les avis divergent.
Les + | Les - |
Facilité de mélange avec la peinture, même au pinceau | |
Extrême siccativité permettant de peindre sur du sec dès le lendemain | Difficile, du coup, de faire des reprises dans le frais les jours suivants... |
Assouplit agréablement la couleur | Trop de liquin dans la peinture et la couvrance devient problématique (au sens où ce medium n'a pas tout à fait la même adhérence que l'huile de lin pure) |
Ne jaunit pas, ne dénature pa la teinte | Peu d'informations sur la conservation dans le temps des oeuvres executées au Liquin |
Odeur neutre | |
Flou total concernant la règle du "gras sur maigre" |
Le grand point d'interrogation concernant le Liquin est donc celui de la problématique du gras sur maigre.
Le Liquin est-il un medium gras (du fait qu'il contient une part d'huile de lin modifiée) ou un medium maigre (avec ses résines alkydes)?
Concrètement, doit-ont au fil des couches ajouter plus de liquin comme le conseille le fabriquqnt ou de moins en moins, permettant ainsi aux couches supérieures de sécher plus lentement?
Si une bonne âme a la solution, elle est la bienvenue.
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